femme ordinateur informatique
17 septembre 2021

1000 stagiaires formés à distance, le bilan

Nous venons de former notre 1000eme stagiaire à distance ! L’occasion pour nous de vous faire un petit bilan sur ce format. Pour information, nous organisions notre première session en distanciel fin avril 2020 lors du premier confinement lié au COVID-19.

Nous avons pu compter sur la collaboration de notre communauté de formatrices et formateurs pour adapter nos méthodes pédagogiques et nos outils. Plusieurs d’entre eux·elles nous ont aidé à répertorier des conseils et bonnes pratiques lors de sessions de formations à distance.

Qu’est-ce qui a changé avec la formation à distance ?

Nous avons par exemple pu tester des formats difficiles à mettre en place en présentiel, comme des sessions en demi-journées ou étalées sur plusieurs semaines, permettant aux participantes et participants de prendre plus de temps pour assimiler les différentes notions.

De plus, nos sessions en petits groupes de 3 à 6 participant·e·s (qui est le 1er chapitre de notre manifeste) ont encore plus de sens à distance afin de garder une proximité avec la formatrice ou le formateur et éviter les décrochages.

Nous étions habitués à organiser une réunion de pré-formation entre le·a formateur·rice et les stagiaires une semaine avant la session. Nous avons gardé cette habitude en visio, ce qui nous a permis d’anticiper les soucis liés au fonctionnement des micros et webcams, notamment chez nos clients grands comptes.

Le distanciel nous permet également d’inviter plus facilement nos formatrices et formateurs à assister aux sessions de leurs collègues. Cela leur a permis de partager des bonnes pratiques de pédagogie, notamment pour la formation à distance, de faire de la veille technique et de renforcer les liens entre eux·elles.

La formation à distance permet aussi d’éviter les déplacements, en particulier lors de formations données à l’étranger, et donc de réduire l’impact écologique. Elle apporte du confort dans la vie perso : plus besoin de voyager sur plusieurs jours et de laisser sa moitié seule avec des enfants par exemple…

Enfin, cela nous donne aussi une dimension internationale puisque cela nous permet de former bien plus facilement des personnes au Canada et même des équipes éparpillées sur différents pays.

Qu’en pensent nos clients ?

Au final, aujourd’hui nous avons dépassé les 1000 personnes formées à distance, avec des retours très positifs à la fois des participant·e·s, des clients et des formateur·rice·s. 
La satisfaction des participantes et participants reste aussi bonne qu’en présentiel : 4,56/5 (ce qui n’était pas évident au début).

Nous avons eu des centaines de retours positifs et détaillés de nos participantes et participants. En voici quelques uns pour illustrer :

Formateur très compétent dans son domaine. Très bon pédagogue. Malgré la distance (nous étions en visio) et les masques vu que l'équipe était dans une même pièce, il a su capter nos attentions et être attentif à nos soucis.
Super formation, et super formateur :) 
Malgré le contexte qui a transformer notre formation présentielle en full distance, j'ai vraiment été plongé dans le contenu et les TP de la formation. Retour d'xp très intéressants aussi.
Malgré le contexte, la formation à distance avec Romain s'est super bien déroulée. Le système de tableau pour faire des schémas et le partage d'écran on permis de suivre convenablement la formation. Ce système a encore été amélioré quand tous les participants ont partagé leur écran (on pouvait alors aller voir le travail des autres, et le formateur pouvait suivre notre avancement).

Conclusion

Au début du COVID, les formations à distance étaient pour nous un format temporaire mis en place dans l’urgence. Un an et demi plus tard, il s’agit maintenant d’un format éprouvé et apprécié, nous ouvrant à de nouvelles possibilités (formations en demi-journées, sessions à l’étranger, …) et offrant de nombreux avantages, notamment écologiques.

Vu les retours, nous imaginons à présent conserver ce format à coté du présentiel même après la crise sanitaire.